| | | par Alexandre Leroy le 06/12/2002
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| Un coup d'oeil sur la pochette et les choses s'annoncent déjà mal, un groupe de jeunes gens souriants (trois filles et quatre garçons), qui posent sur un fond orange, où quelques graffitis sont censés créer un coté rebelle (grotesque). L'écoute ne trompe pas : 14 titres de soupe commerciale, recette instantanée prête à servir en discothèque ou pour le groupe suivant qui attend dans les couloirs de la maison de disques. Des sons à la mode, des textes gentillets, voire cul-cul, non vraiment, les Big Brovaz n'ont rien pour plaire. |
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