| | | par Francois Branchon le 10/10/1999
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| Rien à voir avec le Clearlight américain (du batteur de Stephen Stills Joe Lala et du bassiste des Doors Douglas Lubahn). Après les déboires des "Contes du singe fou", Cyrille Verdeaux décide de produire lui-même l'album suivant, ce "Visions" qui sortira sous licence Polydor. C'est certainement son album le plus achevé, le plus concis et le plus accessible, qui n'évite cependant pas les exercices de virtuosité (entre Didier Malherbe et Didier Lockwood notamment). Mais n'est-ce pas tout le problème de la musique progressive ? |
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