| | | par Francois Branchon le 26/10/1999
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| En Nouvelle Guinée, les flûtes sacrées servent à attirer et à faire pleurer les esprits. Des paires de longs bambous (une flûte mâle et une femelle) sont jouées sur les villages de la côte, près de la rivière Ramu, accompagnées de gongs en bois et quelquefois de chanteurs (au nombre de six dans la tradition Manam). Plus qu'hermétique, la musique est une longue plainte hésitante sur des rythmes complexes, dont la compréhension et l'assimilation appartient aux spécialistes. Un disque d'intérêt documentaire évident mais difficile.
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