| | | par Francois Branchon le 01/11/1998
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| Helen Merrill, chanteuse de jazz un peu en retrait derrière les trois monstres sacrés que sont Ella Fitzgerald, Billie Holiday et Sarah Vaughan, n'en est pas moins une interprète subtile. Ce disque de sa période italienne, sur un répertoire de standards ("Willow weep for me", "Night and day", "Autumn in New York", "These foolish things"...) s'écoute sur le ton de la confidence sensuelle. En passant, il relègue au rang de simples accessoires les chanteuses marketing du moment (Lisa Ekdahl, Diana Krall...). |
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