| | | par Anton Makassar le 01/12/1997
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| Un blues français honnête, chapeauté par le parrain Verbeke : les guitares et l'harmonica sont bien, la voix elle, n'est pas toujours l'atout majeur de Karim Albert Kook. Bien plus à l'aise, plus agréable et aussi plus original sur les titres acoustiques ("Rien ne dure", "Un étrange train") ou lents ("Changer d'univers") que sur les morceaux électriques moyens ou rapides, beaucoup trop stéréotypés. C'est sur le style des premiers que Verbeke devrait l'inciter à peaufiner son style. |
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