| | | par Francois Branchon le 01/11/1998
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| Qui aimerait croiser Popa Chubby dans une ruelle sombre un soir d'hiver ? A ses côtés, Obelix a des manières de top model ! Cet homme cache cependant bien son jeu (de guitare) ! Il manie même le médiator avec finesse. Conçu pour être exclusivement écouté les potards à fond, ce nouvel album débarrasse de tous les coins la poussière qui pourrait y traîner. Signalons au sein de son répertoire décoiffant deux reprises : une bonne, "I've been loving you too long" de Otis Redding et une nettement moins conseillée, de "The wind cries Mary" d'Hendrix. Comment peut-on encore emprunter des chemins aussi casse-gueule ? Chacun sait que cette barre-là est définitivement hors d'atteinte.
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