| | | par Sylvain Zanoni le 16/11/2003
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| On ne transformera pas cette chronique en pamphlet contre le prog, mais Trespass représente en tout cas ce qui se fait de pire dans le genre. Tous les éléments du mauvais progressif sont là : son de synthé à vomir, guitare démonstrative ultra-plate, basse volubile, batterie Parkinsonienne, sonorités ringardes au possible (Jean Michel Jarre devait être de passage dans les studios)… et la liste ne se limite pas à la forme ! Le fond n’est pas mieux : esprit autosuffisant, descente de gammes mathématiques ("Regardez comme c’est facile !")… Seul le chant reflète un peu de cœur à l’ouvrage, face aux bourreaux d'instruments. Prévoir de l'aspirine.
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