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par Francois Branchon le 01/11/2003
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Après la catastrophe Lazenby ("Au service secret de Sa Majesté"), les "Diamants sont éternels" marquent le retour du sauveur Sean Connery, qui avait quitté le navire en 1967 après "On ne vit que deux fois" en jurant de ne plus y revenir. Un "sauvetage" payé par les producteurs au prix astronomique pour 1971 de 1,25 million de dollars (+ un pourcentage sur les entrées !), salaire que Connery reversera entièrement à une fondation, la Scottish International Education Trust. Classe ! Un train pouvant en cacher un autre, c'est aussi le retour dans la bande son de la grande Shirley Bassey, mais plus tout à fait aussi grande qu'aux temps de "Goldfinger". A la mine fatiguée et aux cheveux blanchissant et déjà clairsemés de Connery, répond une BO très conventinnelle de John Barry, pendant cohérent d'un scénario, qui après toutes les escapades exotiques aux Bahamas, à la Jamaïque, en Asie ou dans les Alpes, centre sagement son action aux Usa.
Neuf titres inédits sont en bonus de cette réédition.
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