| | | par Francois Branchon le 26/08/2000
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| Un faux air de Schwarzenneger, une voix qui puise au plus profond du blues, un harmonica puissant à la main pour alterner, une robuste musique presque immuable derrière, à tempo moyen country-rock-blues, pour le soutenir, Mason Casey a de la carrure et est visiblement un type "qui en a". Surtout, il ne pardonnera visiblement jamais au connard d'automobiliste saoul qui a tué ses deux frangins un soir d'août 1979 : la chanson d'ouverture est un réquisitoire sévère contre l'alcoolisme, un thème plutôt nouveau au sein d'une mouvance musicale qui a souvent une méchante tendance à glorifier le gorgeon. (Treize morceaux - gare un peu à la monotonie sur la durée - produits par Popa Chubby).
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