The best of OMD

Orchestral Manoeuvres in the Dark

par Francois Branchon le 01/12/1998

Note: 6.0    
Morceaux qui Tuent
*Messages
*Electricity


1979 : Un duo de Liverpool s'approprie l'électro pop de Kraftwerk et la transforme en hybride dansant : qui n'a pas vu alors Andy McCluskey, le technoïde chanteur bassiste à ressorts se démener sur les planches, manque d'un sérieux repère des années quatre-vingt. Le groupe sera créatif le temps de deux albums, puis l'inspiration s'éteindra au point de ne rendre écoutable qu'un ou deux titres par album (ce que le succès commercial contredira, mais ce n'est pas nouveau). Le premier album, intitulé simplement "Orchestral Manoeuvres in the Dark", qui sort en mars 1980 sous pochette œuvre d'art déclinée en plusieurs couleurs, était parfait de bout en bout, atteignant même le sublime en quelques occasions ("Messages", "Mysterreality"). Deux des titres de cet album ("Electricity" et "Messages") figurent dans cette compilation, qui fait évidemment (et malheureusement) la part belle aux hits ("Enola Gay", "Joan of Arc"....).