| | | par Francois Branchon le 22/08/2003
| Morceaux qui Tuent Pas cette chanson
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| Johnny Hallyday finit l'année 1962 comme il l'avait commencé, en twistant. Deux autres Ep paraissent (rythme industriel), adaptant les derniers succès américains du style finissant, "Meet me at the twistin' place" et "Twistin' the night away" de Sam Cooke ("Madison twist", "Laissez-nous twister"), "Garden of love" de Gene Pitney ("Dans un jardin d'amour") ou une création originale en anglais pour son album à Nashville ("Shake the hand of a fool"). Mais le filon initié avec "Retiens la nuit" se creuse en fin d'année avec "Pas cette chanson" (le monumental "Don't play that song" de Ben E. King), que sa position de premier chanteur français lui permet d'adapter, qu'il chante à la perfection et où il peut laisser aller avec volupté ce personnage qu'il commence à creuser de colosse au coeur tendre. |
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